Les intérêts d’Aurore Nerrinck se situent à la croisée de l’art, de la philosophie et de la poésie. Elle passe son temps à réfléchir au sens de la vie, à décortiquer le pourquoi du comment, à parler d’éthique et de métaphysique. Elle est désespérément idéaliste mais absolument nihiliste et sceptique.