Les fake news ne sont pas un phénomène nouveau. Elles existaient en Grèce Antique. Et énervaient déjà les philosophes.
Les intérêts d’Aurore Nerrinck se situent à la croisée de l’art, de la philosophie et de la poésie. Elle passe son temps à réfléchir au sens de la vie, à décortiquer le pourquoi du comment, à parler d’éthique et de métaphysique. Elle est désespérément idéaliste mais absolument nihiliste et sceptique.
Les fake news ne sont pas un phénomène nouveau. Elles existaient en Grèce Antique. Et énervaient déjà les philosophes.
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